C’est un sujet sensible qui est cœur de ce nouvel épisode de la web série Au Nom de la Loi avec et par le magazine ANews Sécurité. Surtout, une décision de justice qui laisse perplexe…
Un agent de sécurité privée, en l’occurrence une agente, se voir retirer sa carte professionnelle en urgence par le CNAPS au motif de radicalisation. Le CNAPS s’appuie sur quelques preuves, notamment une main courante déposée par l’employeur.
Le 19 juin 2024, la Cour administrative d’appel de Versailles confirme la décision du CNAPS. En la décision de justice est choquante ? Si la radicalisation doit être combattue avec fermeté, il n’est pas admissible de juger sans preuve.
Quels signes de radicalisation faut-il retenir pour évincer un agent de sécurité ?
Comme à l’accoutumée, réponse et décryptage en vidéo sur ce lien, l’occasion de remercier chaleureusement toute l’équipe d’ANews Sécurité, le média d’information sur le continuum de la sécurité : Directeur de la publication : Michaël LEJARD, Directeur de la rédaction : Jérôme PAPIN, Chef d’édition : Éric de RIEDMATTEN, et Virginie CADIEU, Directrice pôle sécurité-sûreté.
Auteur : Thibault du MANOIR de JUAYE, avocat à la Cour, spécialisé en intelligence économique et en droit de la sécurité privée.
Publié le 30 septembre 2024 par Thibault du MANOIR de JUAYE.
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